INP-HB – FORMATION : LANCEMENT DU MODULE 3 SUR LE PROTOCOLE DE NAGOYA, LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET L’ENTREPRENEURIAT
L’Institut National Polytechnique Félix HOUPHOUËT-BOIGNY (INP-HB), à travers l’École Supérieure d’Agronomie, a accueilli le 19 mai 2025, la session d’ouverture du Module 3, de la formation continue théorique initiée dans le cadre de la Chaire UNESCO IDBio. Ce module, axé sur le ‘’Protocole de Nagoya, la Propriété Intellectuelle et l’Entrepreneuriat’’, s’inscrit dans une dynamique de renforcement des capacités autour des produits biosourcés et de l’ingénierie durable.
Les objectifs poursuivis par cette initiative sont :
- Co-construire une offre de formation initiale de niveau Licence et Master en ingénierie durable des produits biosourcés ;
- Mettre en œuvre des formations continues à destination des enseignants-chercheurs et du personnel technique des universités africaines partenaires ;
- Former par la recherche via des allocations doctorales, des mobilités intra-Afrique et Afrique-France, et des thèses en co-tutelle ;
- Faciliter l’insertion professionnelle des jeunes, notamment des femmes en situation de vulnérabilité ;
- Créer une halle technologique régionale pour soutenir la formation continue, la recherche, l’innovation et l’entrepreneuriat dans le domaine des produits biosourcés.
La cérémonie officielle a été présidée par le Prof. Georges LOUM, Directeur Général Adjoint en charge de la Pédagogie et de la Vie Étudiante, représentant le Directeur Général de l’INP-HB. Dans son adresse, il a salué la qualité de la collaboration entre les partenaires internationaux et africains et a souligné l’importance de cette formation dans le développement de compétences pointues au service de la bioéconomie en Afrique.
De son côté, M. Pascal LOUBIÈRE, co-titulaire de la Chaire UNESCO IDBio, a rappelé l’engagement des différents acteurs à faire de cette initiative un levier de transformation durable et inclusive.
Cette session de formation, qui se poursuivra jusqu’au 23 mai 2025, réunit plusieurs experts, enseignants-chercheurs et professionnels issus de pays africains partenaires. Elle représente une étape cruciale dans la structuration de programmes innovants, au carrefour de la science, de la durabilité et de l’entrepreneuriat.
Quelle est votre réaction ?






